Le Sahara se distingue par un fait tout à fait étonnant : le niveau d’eau est bas ou inexistant dans cette région du monde. L’intérêt de cet article s’oriente vers les diverses causes qui sont à la base de ce phénomène.
Une sécheresse accrue
Le climat est le facteur principal d’appréciation d’une zone géographique. Pour ce qui est du Sahara, le climat est caractérisé par une extrême sécheresse. Le volume de mètre cube qui coule dans la région varie entre 1 et 4. Bien que le charme du désert soit axé sur la limpidité et la profondeur du ciel, il est le témoignage d’une haute température. Avec de tels marqueurs de chaleur, l’humidité marine n’accède pas à la zone. Il faut souligner que les vents extrêmement surchauffés constituent des barrières à cette arrivée d’humidité.
Les massifs montagneux
Les différents massifs montagneux du Sahara sont aussi de parfaits écrans contre l’humidité. Par exemple, le massif éthiopien refoule assez de chaleur pour dissiper le vent humide provenant de l’océan. Un autre élément prépondérant est la variation drastique de la température entre le jour et la nuit. Si en journée, le thermomètre affiche jusqu’à 50°C à l’ombre, la nuit, elle baisse jusqu’en dessous de zéro.
Les vents
Le rôle des vents dans la climatologie du Sahara est grand. En fonction de leur direction, ils apportent la chaleur ou la pluie. Déjà, le vent du nord domine le Sahara en été et en hiver. Le vent du Sud-est alterne avec celui du nord pour un apport d’humidité. Cependant, lorsqu’il entre en contact avec les dunes, il devient chaud et particulièrement violent.
L’humidité portée se désagrège complètement
Le constat est que les pluies tombent violemment dans la zone des massifs. Parallèlement, les plaines désertiques connaissent des périodes de sécheresse de 3 ou 4 années consécutives.
Retenez qu’il pleut dans le Sahara. Toutefois, le volume d’eau est assez minime pour prétendre qu’il ne pleut pas. Le climat est en majorité la raison de ce phénomène.